1) Un vaste PROJET DE SOUTIEN AUX ENFANTS les plus pauvres, dans toute la région
- Un projet de soutien scolaire
- 3 centres d’accueil à destination d’enfants orphelins ou d’enfants très pauvres
"Nous n'avons
que deux priorités :
- La première c'est de donner à un enfant ce dont
il a le plus besoin et que la plupart de nos enfants n'ont jamais
eu : l'expérience de se savoir aimé.
- L'autre priorité, c'est l'éducation.
L'Inde compte un nombre considérable d'enfants
au travail. Vingt millions, d'après les chiffres officiels ; le
chiffre réel varie en fait entre 50 et 100 millions d'enfants au
travail sur environ 500 millions d'enfants en Inde. Ce problème
est très délicat à résoudre. Il est, en effet, impensable de supprimer
d'un coup de telles pratiques : les conséquences seraient fatales
à la survie des familles très pauvres et des veuves en particulier.
Nous envisageons de proposer une formule intermédiaire : que l'enfant
aille à l'école le matin et travaille le soir, ou l'inverse. Mais
jamais de travail dur, à l'usine ou ailleurs. Cela ne va pas sans
mal, mais nous tenons absolument à ce que tous nos enfants, sans
exception, soient inscrits dans une école communale ou chez les
soeurs. En plus de cet enseignement scolaire régulier, il y a une
heure ou deux de cours de rattrapage, chaque soir grâce à
l'encadrement qu'apportent les jeunes filles auprès des enfants.
Ces répétitions font l'unité de notre mouvement." (*)
(*) Pierre Ceyrac, Pèlerins des frontières
( p 111-116), Editions du CERF
2) Une aide aux très GRANDS PAUVRES de la ville.
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